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Comptine* pour enfants crédules (partie 1)

Après la France en faillite de François Fillon en 2007, puis « l’ennemi de la finance » faisant ensuite ami ami en 2012, la France moderne des marcheurs nous sert maintenant l’urgente nécessité de redresser les comptes de la nation, face au gouffre abyssal du déficit public
On ne peut plus vivre à crédit ou continuer à creuser ce trou de façon égoïste, trou que les générations futures seraient chargées de combler !

La vérité sur les comptes de la nation :

Nous ne pouvons perpétuer les logiques qui ont amené à une explosion de la pauvreté, de la misère, alors que dans le même temps les profits, les dividendes versés aux actionnaires, les fortunes et les patrimoines connaissaient une croissance exponentielle. En clair, nous ne pouvons plus supporter des inégalités toujours plus criantes.

Face à l’ampleur de la lutte à mener pour la justice et l’égalité, c’est à chaque travailleur de se mobiliser ; la mobilisation de toutes et tous est décisive !

Nous devons expliquer sans relâche, et convaincre de prendre part à la lutte collective.

Le danger de la destruction des services publics peut apparaître virtuel, alors qu’ils répondent pour chacun de nous à différents besoins dans notre vie quotidienne. Le service public n’est autre que le bien commun de chacun de nous, c’est le capital de ceux qui n’en n’ont pas.
Or, les cadeaux aux privilégiés représentent concrètement des services public en moins, ainsi par exemple le montant annuel du Crédit d’Impôt Compétitivité Emploi (un des derniers nés de ces cadeaux) qui n’a pas entraîné de création d’emploi, représente 2.000 écoles non construites, chaque année !
Cela n’a rien d’une fiction. Voilà le réel.

Dire la vérité, c’est la première étape pour pouvoir se mobiliser et agir.

La vérité est que la dette de 2200 milliards est due à une accumulation de déficit provoqué par des baisses de recettes décidées au profit des plus riches et des rentiers depuis des décennies.

La vérité est que ces 2200 milliards de dette ne représentent pas 100% de la richesse du pays, mais 100% du Produit Intérieur Brut, qui ne représente qu’une fraction de la richesse produite pendant une année par les travailleurs ; et ne reprend pas notre patrimoine commun (équipement, infrastructures, savoirs...) accumulé par notre travail et celui de ceux qui nous ont précédé.

Pour lire la suite de l’article de la Fédération, cliquer ici

Article publié le 21 juillet 2017.


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